STL Today.com

Selon les sondages BPM, le LNHS News serait la première lecture au Québec... dans les salles d'attente d'animaleries et sur le trône dans les stations-services. Pour certains, le Magazine de Saint-Louis est encore plus « susten-gâtif » qu'un « Netflix and ta maraine ». Encore plus hot la plotte que les Allemands, eux qui se sont mis à imiter une posture appelée « Russenhocke » (ou « accroupissement russe ») très à la mode chez les Russes de banlieue des années 90. Tellement saint, que même si vous y rameniez Jésus Christ, ou Jean Lapierre, eux aussi en feraient la lecture. Luther King disait « I have a dream », Obama a plutôt dit « I have Drone », pis Jean-Maurice dit « I have an hémorroïde ». Quoi le rapport ? Plus de temps sur le bol ; plus de lecture LNHSienne.

Et la saveur de la semaine, cette semaine dans le LNHS News, c'est bel et bien cette cinquième victoire en autant de matchs de Ray Emery. Une victoire de 3-1 aux dépens de l'Avalanche cette fois. Peut-être pas aussi fragrancé que ce parfum Jean-Sébastien Paris, du Dollarama, qui est comme une verison cheap de Tommy Hilfigher, mais beaucoup plus napalmique que la « Tempête décisive » qui sévit au Yémen. Autrement dit, depuis la blessure de Ryan Miller, et alors qu'on croyait ce Ray Emery complètement fini, il est présentement assis sur cinq gains et aucune défaite, une moyenne de buts alloués de 1,28 et l'efficacité qui frise le 94%. On va se le dire, la compétition ressent présentement une légère piqure qui turlupine l'esprit lorsqu'elle affronte les Blues, et c'est quasi aussi froid qu'un speculum dans le sandwiche qu'on vous dit.

Avec du beef, on se fait un safari, mais avec un glock : c'est l'expédition punitive. Et avec Emery, c'est comme du temps de Felipe Alou, rapport que la victoire est garantie, ou argent remis. Cette fois encore, au Colorado, Emery a stoppé 19 des 20 lancers dirigés vers lui, mais c'est surtout son attitude de combattant qui a « again and again » tarabusté ses coéquipiers. Pour un, David Backes a fêté son retour au jeu en marquant deux buts, puis l'autre réussite fut l'affaire de Brad Marchand.

L'équipe est présentement en pleine remontée au classement, étant qu'à deux points de la deuxième place et voguant allégrement sur un trip de quatre victoires ; demain c'est Nashville qui s'amène.

Saint-Louis, Missouri

Par les temps qui courent, jouer contre les Blues de Saint-Louis peut s'avérer être aussi désagréable que les initiations déployées afin d'entrer dans le fan club des Pédés broute-cul (le jeu de la tranche de pain, la course à relais including un raisin d'enfoncé dans le cul et j'en passe...). Oui, même si la bonne femme vous a fait des club sandwich pas de tomates durant la semaine, ou que votre régime est composé que de fruits et légumes jusqu’à nouvel ordre, un duel contre la Vague Bleue saura faire passer tous les désagréments du quotidien pour une vulgaire pacotille ; voire une marche au centre d'achat Le Domaine par un lundi matin.

Revenu Québec vous a envoyé une charmante « carte de fête » ? Vous deviez aller voir jouer votre fils au hockey, par un beau samedi matin, à 6h ? Votre ex a gagné le gros lot à la 6/49 ? Votre examen de la prostate s’est mal passé ? Peu importe, puisque nous faisons référence à de très bonnes nouvelles ici, comparativement à un affrontement versus les Blues depuis dix parties.

Depuis dix matchs, et ce malgré les blessures, l'équipe affiche un dossier de sept victoires et trois défaites. Et on parle de morceaux considérables qui ont manqué à l'appel, tels que Ryan Miller, David Backes, Chris Stewart et Dion Phaneuf. Mais l'intensité est dans le prélat, le système est aussi rodé que la machine propagandiste de l'Occident et les gardiens, ma sainte foi du bon Yâble, sont aussi efficaces (dans l'ombre) que des stérilets.

Cette fois, c'était au tour des pauvres Jets de Winnipeg de sombrer dans l'oubli. Cette tellement famous Vague Bleue a emporté Winnipeg au large, et ce par un pointage de 2-0. Les Jazzés de la tirelire ont de plus dominé au niveau des tirs, soit pour un total de 38-19. Du gros stock. Corey Perry et Ryan Reaves ont tamponné les buts, Ryan Miller a obtenu le blanchiment. Demain, les Bruins de Boston s'amèneront afin de briser la tendance.

+1M CF $

Saint-Louis, Missouri


Du botox dans son bec à trou d’cul d’poule, de la chirurgie dans son nez à la Cher, des perçages à grandeur du front tel un foutu black-métal-punk, un cornet de crème glacée ou des guns tatoués dans le visage, ou carrément les lèvres cousues sur le côté tel le rapper Stitches... Bref, il faut avouer que changer de visage n’est pas toujours un gage de succès. On a qu’à penser à Courtney Cox, elle qui est devenue aussi laide que Rocky Dennis, dans le film Mask (1985). Les plus vieux s’en souviendront, c’était le type né avec un visage déformé par une maladie génétique rare qui déformait radicalement son visage et lui donnait un aspect de lion manqué. On peut également penser à la jadis charmante Renée Zellweger, à qui on a plutôt envie de sacrer une bonne claque derrière la tête en criant : « POURQUOI T’AS FAIT ÇA CRISSE DE CONNE, HAN ? ».

À l’inverse, il y a de ces changements qui portent réellement de bons fruits. Comme pour le fameux William Bruce Jenner, lui qui est devenu une sublime femme de carrière en cette Caitlyn Jenner. Y’a pas à dire, elle donne vraiment le goût d’y mettre la main! En passant, votre clavier préféré est aussi sarcastique qu’un « no bomb zone » émis par les États-Unis ici.

M’enfin, parlant de changements, mettons que les Blues de Saint-Louis n’ont pas chômé durant l’entre-saison. Le vieillissement du personnel aura forcé Charlie Phaneuf à être très agressif durant la frénésie des joueurs autonomes. On se souviendra que Chris Stewart et Cody Franson avaient d’abord pris la direction de Buffalo, en retour de choix au repêchage qui sont devenus Logan Brown et Rilley Tufte. Not bad pour la considération future. Martin Hanzal avait ensuite été envoyé en Californie, soit vers les Kings, en échange de Jordan Greenway et de Brett Lurnout – qui a ensuite été marchandé contre des choix au repêchage : Markus Niemelainen et James Greenway. Donc, le Directeur Général n’avait pas le choix, il devait se montrer agressif sur le marché des agents libres afin de garder son équipe compétitive. Au final, son pari aura été le bon, rapport qu’il aura fait de très bonnes prises, avec des noms tels que Johnny Boychuk, Troy Brouwer, Nick Bonino et Brian Boyle, pour ne nommer que ceux-là. De plus, Charlie Phaneuf est venu bien prêt d’ajouter le nom du gardien Brian Elliot à son palmarès, mais en vain.

Certains journalistes ont crié haut et fort que le montant offert à Troy Brouwer avait été dérisoire, alors que d’autres ont montré leur soutient au DG Phaneuf. Or, une question s’impose. Quel est l'impact d’un vaillant guerrier tel que Troy Brouwer sur la première ligne des Blues de Saint-Louis ? Bah, sacrez un gros burkini sur un tank et envoyez-le tirer sur le Cosmodôme de Laval pour voir. Tsé, le burkini maudit. Il engendre la peur. Même chose pour Brouwer. On se demande même lequel des deux est le plus craint. Brouwy, ou le burkini ?

Autrement dit, le Canada (Nato and shit) vend des armes au régime wahhabite de l'Arabie Saoudite qui, en plus d'être le papa spirituel et financier des djihadistes, engendre encore plus de kills que Halo et Call of Duty jumelés ensemble au Moyen-Orient (je suis le Yémen, entre autres). Mais ?! Les burkinis l'emportent sur le front page du média corporatif et/ou impérialiste. Y'a pas à dire, si quelqu'un vapote allégrement présentement, c'est bien c'te vieil oligarque du Conseil on Foreign Relations.

Encore là, parions que Troy Brouwer saurait vous encourager à vouloir passer des lois liberticides. Brouwer est plus toxique que du gaz moutarde. Ou que le zyklon B. Écoutez, même Mathieu Bock-Côté et Serge Tellier en ont parlé. Un musulman qui te fixe pendant que tu manges ton bacon tout en tenant le bouton enfoncé de son démarreur à distance ? Un Kaepernick qui s'assied durant un hymne national fasciste et qui dérange toute une génération de suprématie blanche ? Un pitbull sur ta banquette arrière ? Un python dans ta salade ? Non, Troy Brouwer en échec-avant dans ton enclave, voilà la grande démangeaison rectale qui te guète.

Dans un communiqué, Charlie Phaneuf a expliqué ceci : « Avec l’ascension phénoménale du défenseur Colton Parayko, nous tenions mordicus à lui faire une place dans l’alignement. Et avec les gros noms qu’il y avait sur le marché des agents libres, nous avons feint à une reconstruction tranquille, spécialement lorsque nous avons bougé Stewart et Hanzal. It was all bullshit, comme on dit, puisque la stratégie était de mettre la main-heureuse sur Logan Brown, puis de faire de la place sur la masse afin d’aller chercher les gros noms, et rester aussi compétitif que possible… »

Et là, pas plus tard que ce matin, les Blues ont envoyé le gardien Ryan Miller vers le Canadien de Montréal, en retour de Corey Schneider. « Nous aurions aimé voir Ryan terminer sa cyber-vie avec les Blues, mais la réalité du monde des affaires en a voulu autrement », a ajouté Charlie Phaneuf lors d’une entrevue à PressTV sports.

Donc, à première vue, l’opération lift-up des Blues semble augurer vers un franc succès. Vrai qu’il est encore tôt dans la saison pour se prononcer, mais l’engouement qui sévit chez ce groupe est bien réel. Alors calicez la reptilienne-cyborg-sociopathe de Clinton dans le même vieux bac où se trouvent déjà le Pepsi Crystal et l'album rap de Shaquille O'Neil. Oui, car les Blues sont peut-être la nouvelle menace qui pourrait dérégler l'équilibre mondial. Oubliez aussi le hype du groupe de musique Tragically Hip. Tha fuck avec les « Hanches Tragiques » ? Ça a toujours été de la pure merde auditive ; assez pour vous faire quitter CHOM (Rock?) en tout cas. Et là, ça serait le meilleur band de la vie ? So non, les Blues n'ont pas chopé une maladie grave, mais vrai que leur popularité risque de monter en flèche eux aussi.

+ 3M$

SebOTT a écrit:

+ 3M$

Si j donnerais juste 1.5 millions Malgrer 
Le Fabuleux Article y Manque Une Section 
Qui Parle de Ryan Reaves et Matt Martin sur 
La meme ligne 2 des Trois plus Toff gars de 
La LNHS ( Faut pas Oublier Jordan Nolan a L.A )

Un scoop, je commence le 13 septembre en script, à l'école de l'humour. Rapport que je vais peut-être devenir comiquo-comique un jour !

Mais vous êtes déjà très drôle M. Phaneuf!

J'aimerais l'être autant que François Massicotte haha

Commence par l'être autant que moi, c e sera déjà ca de gagné mon cher Charli boy! HAHAHAHAHA!

J'aimerais avoir la blague de la fameuse croustille au saumon à mon arc.

*retirerais mon dentier et en offrirais au prochain

Une chose est sûre, les Loups de Chicago, voire ceux qui constituent le club-école des Blues de Saint-Louis, ont le feu dans les bottes, en cette sixième saison. Les joueurs là-bas sont ensemble depuis quelques saisons déjà et ça paraît. La formation AHLienne occupe présentement le troisième rang dans l'Ouest, derrière St-John (Winnipeg) et Norfolk (Anaheim).

Bref, quel est le slogan galvaniseur cette saison, chez les jeunes Loubards de Chicago ? « Soldats, nous avons toujours eu les deux pieds dans la merde, donc là il est grand temps de passer le boyau d’arrosage sur nos espadrilles ». Bon, peut-être pas dans ces mots-là, mais tsé. C’est que les Wolves ont longtemps pataugé dans les bas fonds. Comme les Bengals de Cincinnati, les Brewers de Milwaukee ou les Nordiques de Québec de ce monde. Parfois, ils ont occasionné des mini-engouements. Parfois, ils sont parvenus à déjouer les pronostiques. Mais la plupart du temps, le chemin fut encore plus tortueux que David Desharnais chaque fois qu’il croise Zdeno Chara dans le coin de la patinoire.

Cette saison, les Loups de Chicago sont réellement en train de s'imposer comme une équipe de tête, dans la division de l'Ouest. Est-ce que ça durera ? Seul José Théodore et Patrice Brisebois le savent ; c'est juste qu'ils ne savent pas comment le formuler, c'est tout. Chez les jeunes, on savoure chaque moment, forcément.

Et pour l'éclaireur qui sommeille en vous, plusieurs individus de la meute sont à surveiller. Pour un, Hunter Smith vient d'éclore rien que d'un coup. En douze rencontres, le centre jumbo a ramassé 22 points. Du gros stock. Arrive ensuite James Greenway, avec une production de 19 points en douze parties. Paul Bittner n'est pas en reste, avec 17 points à son compte. On va se le dire, c'est littéralement le futur premier trio des Blues qui est en train de tout casser dans l'AHL. C'est de bon augure, comme dirait c'te gars. Le gros gardien russe Ivan Fetodov fait très bien lui aussi, ayant conservé une moyenne de buts alloués de 2,20 en cinq parties. Not bad.

En prendre plein son matricule, ce n'est jamais rose. En temps de guerre, beaucoup d'atrocités sont commises. Et ça implique tellement de liquide. En bout de ligne, est-ce que ça en vaut le sacrifice ? Et on paye ça avec la sueur du peuple, rappelons-le.

Quel est le prix des guerres en Irak et en Afghanistan jusqu'à maintenant? $4.79 TRILLIONS. Des peanuts. Quels sont les intérêts du coût de ces guerres jusqu'en 2053? $7.3 TRILLIONS. Des écailles de peanuts. Et, du coup, le premier président Musulman des États-Unis, lui qui a d'ailleurs tué plus de Musulmans que ISIS jusqu'à date, vient tout juste d'offrir son plus grand forfait d'aide militaire de tous les temps à Israël : soit 38 milliards. Des miettes d’écailles de peanuts – ça c’est un peu ce qui reste à manger au Nigéria, les semaines de gros luxe. Anyway, ce montant à vous en faire sortir l'œil de l'orbite fut décerné alors qu'un réel génocide des palestiniens s'opère sans impunité et, surtout, qui est simili globalement accepté. Vrai que ça met en perspective une dégelée de 6-2, n’est-ce pas? Ah, vous le savez, le STL Today est là pour ça – aucun frais supplémentaire en prime!

Mais bon, parlant d'oppression, de chaos et d'impérialisme 101, on pense inévitablement au Yémen, à la Lybie et à la Syrie, entre autres. Who's next? Washington ? Ah, cette semaine du moins, ce fut le tour des Capitalistes de se faire imposer un énorme blocage de ressources ; se faire malmener aussi. En effet Gilles, les Blues ont littéralement secoué l'équipe de Maxime Douak, avec six buts marqués contre deux. La bonne nouvelle, c’est que ça ne coûte pas 38 MILLIARDS de dollars en termes de masse salariale chez les Blues. Washington, lors de ce génocide en règle, a donc pu vivre un effet pseudo hégémonique, sauf, dans ce cas-ci, ce fut pour une bien plus modique somme que les warmongers l’exigent d’ordinaire. Oui, la masse salariale des Blues n'est que de 80 millions par année. Chouette!

Avec un pointage de 6 à 2 au final, le STL Today va évidemment se garder une petite gêne en se passant d’un résumé de match de type « but par but ». Toutefois, pour les poolers, sachez que Brad Marchand a couronné sa matinée de travail avec deux buts et une passe. Du gros stock! Marchand est maintenant deuxième pointeur de l'équipe, avec 10 points. Corey Perry trône au sommet avec 12 points. Justement, le beau Perry a obtenu un but et deux passes dans ce gain. Dans le champ arrière, Dion Phaneuf et Johnny Boychuck ont turbo contribué à la victoire, avec trois passes chacun. Hommages!

Loll mes Hommages Charlie

Aller aux pommes, c'est comme la Ford Mustang, Vince Carter, Myspace, Notorius B.I.G. et Dragonball Z. Bref… c’est tellement overrated. Mais une chose qui est crissement réelle cette saison dans la LNHS, c'est bel et bien le succès des Blues de Saint-Louis. Cette équipe joue du hockey inspiré, aucun doute là-dessus. On connaît le scénario. Les Blues ont eu les deux pieds dans le bourbier longtemps, mais là, avec l'arrivée de Troy Brouwer, soit le joueur le plus convoité de la ligue durant le dernier off-saison (et on ne fait pas référence à son prince Albert ici), la game vient de changer dans l'Association de l'Ouest. Ajoutez à cela les deux tours défensives que sont Johnny Boychuk et Colton Parayko, en plus d'un Corey Schneider et un Anton Khudobin en pleine possession de leurs moyens devant la cage, et l'affaire semble être assez Ketchup merci. Du coup, les vétérans originaux de l'équipe tels que David Backes et Alex Pietrangelo retrouvent leurs ailes du passé.

Encore une fois contre l'Ours Brun, la Sainte-Note aura généré beaucoup d'émotion. Pour tout dire, on se serait cru en plein manque d'Okeefe tablette et d'Octane tant et tellement la frénésie a atteint le quasi paroxysme. Pas aussi dévoué qu'un punk à chien qui désynchronise des coups de poings dans le vide durant un moshpit aux Foufounes Électriques, mais presque. Ryan Reaves aura été un vrai morpion au cul, avec un but et une passe, en plus de parachever l'épreuve avec un différentiel de +3. Brad Marchand, lui, ne fut pas en reste contre son ancienne équipe, avec un doublé de buts à sa fiche. Mentionnons aussi que Corey Perry et Alex Pientrangelo ont amassé deux passes chacun, pendant que le gardien auxiliaire, soit Anton Khudobin, a encore récolté la victoire, réalisant cette fois 24 arrêts sur 26 tirs.

Le succès des Blues n'est peut-être pas aussi retentissant que celui des Oilers d''Edmonton, mais le revirement de situation à Saint-Louis provoque une vive réaction. Le monde en a presque basculé qu'on vous dit. Walmart a envisagé d'en donner plus à ses travailleurs. Shell a songé à dédommager les victimes de l'or noir au Nigeria. Robert Kagan a presque eu des remords concernant son rôle dans le ré-allumage de la guerre froide contre les russes; finalement ce n'était qu'une flatulence qui ne passait pas. Les frères Koch ont pensé à s'enlever la vie. Goldman Sachs et George Soros ont eu pitié pendant un instant pis Justin Trudeau a eu le goût de faire un stunt publicitaire dans les marches de l'oratoire Saint-Joseph; c'était un vieux rush de THC finalement. Ma parole !

Demain, les Blues visiteront les Jets, dans cette platonique ville de Winnipeg. Autrement dit, l’émotion se contrôle moins bien devant le kick-down soudain. Là dessus tho, une étude a récemment prouvé que l'acétaminophène, lui qui se retrouve dans les comprimés Tylenol surtout, faisait baisser le niveau d'empathie chez l'humain. Tiens? Ça explique peut-être le côté sociopathe de ceux qui nous gouvernent? Ou peut-être que le bon peuple ne serait pas aussi indulgent envers le 1% s’il arrêtait de gober des petites pilules ?

Rendu-là, mettons que Tylenol est dans la même lignée que le Fentanyl léger. Mais, sans la pulsion d'te tirer une balle dans 'tête style sur un air de Judas Priest qui vient avec, sans les psycho-clowns qui grimpent le long de ta jambe avec des couteaux et, surtout, sans les yeux qui te sortent des orbites.

Autrement dit, un groupe d'experts suivra les joueurs des Blues durant leur séjour à Winnipeg, question qu'ils ne terminent pas leur voyage dans une piquerie dû à l'angoisse de la ville.

Il y a de ces formalités qu'on essaie de défier dans la vie. Comme manger chez Poulet Frit Kentucky et penser que la digestion sera lente et sans conséquence. Ou marier une italienne et penser faire attention à sa ligne dans le temps des fêtes. Ou manger chez Subway et ne pas avoir l'impression que la nourriture en poudre des astronautes est plus savoureuse.

À l'inverse, il y a des aberrations qui trollent carrément les lois de la logique. Comme dans le cas de ce David « Avocado » Wolf, ce nutritionniste pseudo révolutionnaire et énergumène des temps cyber-modernes comme il s’en fait trop. Tsé, comment un charlatan de ce genre peut-il être suivi et être partagé par autant de gens, alors qu'il prône le fait que la terre soit plate ? Ma parole. Et on se demande pourquoi ça va mal en ce bas-monde. Ou pourquoi Reptilienne Clinton et Furet Trump sont les deux seuls candidats à la prochaine présidence des États-Unis dont les médias parlent. Note à toi-même, cher américain qui cherche à s'en sortir: Jill Stein!

La Sainte-Note, elle, a fait le contraire cette semaine. Rapport qu'elle a still déjoué les pronostics en perpétuant sa position dans les hautes sphères du classement. Certes, la saison est encore jeune et on est loin de la Coupe. Mais certains diront : « C'EST D'JÀ ÇA » ! Autrement dit, selon la tendance et l'avis des experts, les Blues allaient assurément se faire malmener. Bon, le langage utilisé allait plutôt comme suit : « ...en manger une calice ». Que voulez-vous, les experts n'utilisent pas toujours un langage à rendre fier le vieux Bernard Pivot.

So, les Blues ont continué sur leur bel élan en baffouant les Jets de Winnipeg, et ce par un pointage de 6 à 2. Pour un, le gardien auxiliaire Anton Khudobin a stoppé 26 des 28 rondelles dirigées vers lui, portant son dossier à 4-2-1. Sinon, Corey Perry, Clayton Stoner, Dion Phaneuf, Jay Bouwmeester et Johnny Boychuk ont tous récolté deux points chacun. Les Blues sont au troisième rang de l'Ouest, derrière les Hawks et les Oilers. Les prochains adversaires des Blues seront les Sénateurs d'Ottawa.

Ta ete le maitre des ufa Durant le off season et sa Porter fruit.  Gj.  

Nashville, Tennessee

Assister à un match entre les Blues et les Prédateurs, voici la meilleure façon de vous exciter le poil du gooch. Oubliez le Viagra ou le Cialis, car les duels entre ces deux clubs vous feront bander comme des dinosaures. Même pas besoin de snifer du Xanax ou de l’Octane, on parle ici de frénésie naturelle. Un choc de masse s'opère à chaque fois, alors que vous avez les vieux jazzys issus du Blues de Saint-Louis, versus les countrys boys de Nashville.

Bref, on parle de conflits disputés à vive allure, avec l’intensité d’un septième match à chaque fois. Avec le coubertisme dans le tapis cependant, le respect de l’adversaire aussi, et l’aspect franc-jeu au maximum, cela va de soi. On va se le dire, les journalistes adorent les combats entre ces deux grandes puissances de la division Centrale. Dans ce temps-là, c’est le temps de sortir le cahier et de prendre des notes. Autrement dit, cette saine rivalité est aussi inspirante que le pape qui embrasse les pieds d’immigrants, ou que Roger Waters qui tient son « boutte » publiquement contre le fascisme israélien. Ou, encore, que Suzanne Sarandon qui fait une sortie médiatique contre Clinton. En tout cas, plus inspirant que la famille Jenner en général, ou que la juge Anne-France Goldwater lorsqu’elle ne dort pas.

Cette fois, le jeu fut évidemment aussi hermétique qu'un plat Tuppeware des années 80. Le gardien Corey Schneider aura épongé 23 des 25 tirs dirigés vers lui. Carey Price, de son côté, n'aura pu stopper que 16 lancers sur 19. Jay Bouwmeester enfile le premier but du match en première période : son tir frappé de la pointe vient pulvériser une lucarne près de Price. La deuxième période est toute aussi à l'avantage des Blues. David Backes récupère le retour de lancer de Clayton Stoner, Price est encore une fois déjoué et c'est 2-0 pour la Sainte-Note. Puis, à 7:12, Troy Brouwer redirige habilement le tir-passe de Nick Bonino, c'est 3-1 Blues. Les Prédateurs vont répliquer avant la fin de la médiane, un but de Griffin Reinhart. Patrice Bergeron ajoute un but au dernier tiers chez les Predz, mais les Blues vont fermer le jeu, s'accrocher à leur avance tel un morpion au cul, et la victoire de 3-2 allait ainsi se concrétiser. Du gros stock !

Avec ce triomphe, la troupe de Charlie Phaneuf se retrouve à égalité au premier rang de l'association de l'Ouest, en compagnie des Flames de Calgary, eux qui ont aussi 50 points en banque.

Pendant que les Clinton, eux qui ont tous deux reçu de George Soros des millions de dollars en fonds de campagne et en donations à la Fondation Clinton, sont en fait en train d’aider au lancement de la «Révolution violette» de Soros en Amérique, Charlie Phaneuf, lui, poursuit sa reconquête de l'Association de l'Ouest. Si la Révolution violette résistera à tous les efforts de l’administration Trump visant à empêcher les politiques mondialistes des Clinton et du futur ex-président Barack Obama, la montée en flèche du bleu et jaune de Saint-Louis, de son côté, cherchera en accentuer son emprise sur les Flames de Calgary et les Stars de Dallas. La Révolution violette cherchera aussi à ce que l’administration Trump ne dure pas grâce à des manifestations de rues et à des perturbations politiques dans le style Soros. Les Blues tarabustent ses adversaires comme jamais depuis la saison un en ce moment, et ils ont quatre points d'avance sur les Stars, puis cinq points aux dépens des Flames. Du gros stock.

En effet Gilles, avec deux triomphes en poche de suite contre le Wild, les Blues rehaussent l'écart qui les sépare du reste de la compétition. Bon, il reste encore beaucoup de hockey à disputer à cette saison en cours, mais la position présente du club au sommet de l'Ouest a de quoi étonner.

Pour un, Cal Clutterbuck connaît ses meilleurs moments de la saison chez la Sainte-Note. Après avoir passé l'entière saison sur le quatrième trio, l'entraîneur Ken Hitchcock lui a enfin donné sa chance sur le premier trio, en compagnie de Perry et Marchand. Clutterbuck saisi sa chance pour l'instant, lui qui ne dérougit pas de la feuille de pointage. Ryan Reaves, pendant ce temps, fera une halte vers le quatrième trio, flanqué de Matt Martin et de Steve Ott.